Théorie des jeux

jeux

Publié le : 07 mars 20175 mins de lecture

Le « faucon » combat jusqu’à la mort.

La « colombe » ruse et bluffe, display.

« Bourgeois » : alternativement l’un et l’autre. Cette stratégie est une ESS : stratégie évolutivement stable.

Une stratégie ne peut s’étendre que si elle apporte un plus aux individus qui la pratique, mais il ne faut pas qu’elle devienne la norme. La meilleure stratégie que va adopter un individu dépend de la stratégie adoptée par les autres individus.

Modèle : manière de se représenter schématiquement la réalité, mais s’en servir pour comprendre les contextes réels. Se placer dans un contexte écologique pour comprendre coûts et bénéfices.

Les menaces permettent d’éviter les combats, et donc d’éviter de se blesser par des confrontations stériles pour la survie de l’espèce.

Pour éviter les affrontements inégaux, voir si ça vaut le coût d’affronter l’adversaire, maintenir les adversaires à distance : utilisation de display. (peu de risques, peu de pertes énergétiques. Eviter blessures et mort inutile.

Critères de reconnaissance rapide de l’individu que l’on a en face.

Aptitude à combattre est donnée par cris, taille…

Bluff souvent par mâle car c’est lui qui est amené à combattre.

Beaucoup d’attitudes, de couleur,  pour inhiber le combat, l’agressivité.

Quand conflit, les adversaires vont se tester directement ou par le bluff.

Bluff et menaces : paraître plus fort que l’on est.

Les stratégies alternatives : tous les individus d’une population ne font pas la même chose.

Une espèce va pouvoir se maintenir si plusieurs stratégies face à l’environnement changeant.

Différences de taille donc stratégies car pas tous les mêmes chances.

Espèces où tous mêmes chances car tous même taille. Si une alternative dans la stratégie, il y a peut-être un gain supérieur. Ceux qui ont un succès reproducteur plus important (chant… ) se font remarquer des prédateurs : coût de prédation est important.  Une balance entre la survie et la reproduction.

Stratégie du sournois : individus qui vont parasiter les stratégies d’autres individus pour en tirer bénéfice, notamment pour la reproduction.

Le changement de sexe : Il intervient suivant l’importance de la fécondité.

Hermaphrodite protogyne : F avant d’être M, pour surmonter le désavantage d’une petite taille (M augmentation en fécondité et taille avec l’âge, et la F peu).

Hermaphrodite protandre : M avant d’être F (quand fécondité M est constante et que celle F augmente avec l’âge).

Il intervient aussi pour former un nouveau couple, quand l’un des deux sexes « manque ».

Chez les animaux la différenciation du sexe est faible. Le sexe n’est pas contrôlé génétiquement mais socialement.

Chez les mammifères le sexe est contrôlé par les chromosomes. Le petit individu va avoir un comportement spécifique.

Relation agonistique se développe dès la puberté. Les individus agressifs  ont un taux d’hormones variable dans la journée. Les plus attractifs ont un taux stable.

Maintien de la hiérarchie par le contact physique. Mécanismes de cohésion de groupe.

La position sociale dans un groupe n’est pas la même que dans un autre.

Hormones et comportements maternels.

Les animaux se rassemblent pour :

–      reproduction

–      protection contre les intempéries

–      contre les prédateurs : effet de confusion (sélection normalisante)

–      favorise la croissance

L’effet de groupe est bénéfique jusqu’à une certaine densité. Au-delà la concurrence est importante, les interactions sociales trop, fortes d’où chute des effectifs : l’effet de masse est défavorable. Deux modèles de régulation : stress, ou (accidents) stochastique.

Différences de comportements dans un groupe qui semble homogène.

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